Cette situation se révèle très grave, pour ne pas dire alarmante! Avons-nous songé, un instant, au tort que nous nous causons à nous-mêmes par notre attitude destructrices envers nos pairs féminins? En détruisant notre estime de soi, nos compétences professionnelles, notre créativité et notre santé, c'est l'avenir féminin que nous détruisons. Puisque notre réputation s'arrête à cette appellation-faiseuses de troubles-, quel employeur, dans dix ans, voudra nous embaucher? À compétences égales, il est facile d'imaginer que la gent masculine sera priorisée. Ici, il ne s'agit pas d'être alarmistes, mais conséquentes de nos actes. Réfléchissons un peu et comprenons que le bitchage et la médisance ne servent à personne, en plus de jouer contre l'avenir des femmes tout court.